Nouveau tour au grand Jeu, et cette fois aprés avoir fait une longue liste de disques qui méritaient ètre dans le Grand Jeu je me suis décidé.
Aprés la période des 45trs, moi et mon frère ont eté pris par la fièvre des LP, Et les deux album que nous aons choisi étaient Manfred Mann - Marcus Garvey! 1968 (que j'ai posté sûr mon blog Musicology début de ce mois) donc je prends l'autre album qui nous a frappé ... et cela continue, Otis Redding - The Immortal Otis Redding 1968. Bonne écoute.
After the career of Otis Redding was cut tragically short in December of 1967, the tape vaults were plundered on several occasions to present fans with new product. The Immortal Otis Redding (1968) was the second posthumous long-player created from the artist's backlog of material. Of the 11 selections, only the 45 rpm side "The Happy Song (Dum-Dum-De-De-De-Dum-Dum)" would have been familiar to enthusiasts of the late vocalist. As notated on the rear of the original jacket, these were among the last tunes Redding cut during what turned out to be a prophetic three-week stretch of sessions -- concluding just days prior to his untimely passing. One of which is the emotive opener "I've Got Dreams to Remember," which bear two disparate sets of lyrics -- including one by Redding's spouse Zelma Redding. However, the words on the version commencing this effort were actually penned by Joe Rock, whose primary claim to fame was as author of the Skyliners' doo wop smash "Since I Don't Have You." The midtempo "You Made a Man Out of Me" is marked by the hypnotic rhythm lines of Donald "Duck" Dunn (bass). It joins the preeminently funky "Hard to Handle" -- which easily bests the Black Crowes' early-'90s modernization -- and the sublime soul stomper "Nobody's Fault But Mine" as prime paradigms of his inimitable command. The Memphis Horns provide a profound sense of empathy to the aching "Thousand Miles Away," while the somber irony of the Redding original "A Waste of Time" ranks alongside his best ballads. The remake of Ray Charles' "A Fool for You" provides an ideal vehicle for Redding to explore his R&B roots. It likewise leads one to beg the hypothetical possibilities of an entire project dedicated to Redding's interpretations of sounds that influenced him. Those very musical roots definitively manifest themselves in the closing spiritual, "Amen." Although Redding is credited with the arrangement, he was undoubtedly impacted by the Impressions' 1964 hit that took a similar approach to the simple sacred singalong. On the whole, it can be argued that The Immortal Otis Redding wasn't quite on par with the half-dozen studio albums that the vocalist cut during his lifetime. By the same token, it should be acknowledged that any Otis Redding recordings should be considered welcome (if not mandatory) additions to all manner of listeners. AMG.
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Carlos,
ResponderEliminarMes frangins écoutaient en boucle la série des disques Formidable Rythm & Blues dont je parle dans mon post sur le CanutBrains. A l'époque je n'avais que 8 - 10 ans mais le truc me paraissait assez intéressant tout de m^me. Pour moi le grand frisson viendra avec Lennon (sur un album de reprises du reste plus rythm & blues que Rock n roll) , mais je peux dire qu' Otis Redding Wilson Pickett et autre Sam Cooke m'ont débroussaillé les oreilles. Aujourd'hui encore Otis, mais aussi Wilson Pickett demeurent avec Jagger, mes chanteurs préférés.
Hello Carlos .
ResponderEliminarOtis Redding, c'est pour moi un télescopage d'images et de sons que j'ai croisés avant même de savoir ce que ça représentait .
Ou ce qu'IL représentait .
Quand j'y pense, c'était sûrement à l'occasion de sa mort .
Dur ce thème, vous trouvez pas ?
EWG
LRR e EWG, merci pour vos commentaires. Otis est aussi celui qui malgré sa grandiosité a été frappé par le destin et pour la 1ère fois m'a laissé devant la crue vérité de l'existence ou plutôt son absence! Mais vite fait je me suis rendu compte que la musique, n'a pas de validité! elle reste maître de nos vies! merci
ResponderEliminarUn bien beau début. Le seul soucis, ce sont ces gens qui ne citent qu'Otis et Aretha lorsqu'ils parlent de soul (ce qui est loin d'être ton cas, puisque tu as, par exemple, déjà posté les chefs-d'oeuvre de l'immense James carr)...
ResponderEliminarJimmy
Moi je devrai avoir honte ... C'est Bernard Tapie qui m'a fait connaitre Otis. Une émission sur CANAL+ qui se nommait "mon zenith à moi" où il a demandé à revoir Otis chantant "Try a Little tendernedd" en public... Une folie, le chanteur en pleine explosion. Versio que l'on retrouve dans le public ne Europe ... Je crois.
ResponderEliminarMon ami grand amateur de Soul, penche davantage sur la soul symphonique .... Mais Otis. Trop beau
Pour moi je le vois plus R&B que soul tout court,.... mais les deux se donnent la main... sans doute! et si c'est que Tapie qui te la fais découvrir c' est déjá un fait mémorable.... et si tu as aimé... alors y a pas avoir honte...sans plus, il est bon et son concert à Monterey a été excellent à n'en finir! merci pour vos commentaires Antoine et Jimmy
ResponderEliminar.. La "honte" (et c'est pour le fun) c'est que Bernard Tapie est un personnage assez loin des valeurs chantées. Homme d'affaire plutôt dur etc...
ResponderEliminarOui j'ai saisi ton exclusive humour... eeheehhe ... BT m'a toujours fait rigoler avec ses machinations et dédain pour le système... malgré qu'il était une des roues qui faisait la machine tourner ... mais restons sur le fait musical ...le plus important ... Otis oui oui! yes!
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